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Qu'un homme puisse prendre plaisir à marcher au rythme d'une fanfare militaire, suffit à me le rendre méprisable."

Albert Einstein
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 Auteur Albert Einstein
 Avis des internautes
 Theme Amitié / inimitié
 pays Allemagne


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 44 avis | DONNEZ VOTRE AVIS 
L'avis de Suzan  (Bordeaux) 
"Je ne trouve pas que cette citation "dé-glorifie" Einstein, elle est tout à son honneur plutôt... Cet homme voulait faire passer le message que les humains peuvent être bêtes (le plus souvent d'ailleurs, mais cela est une autre histoire...) et suivre le mouvement, l'endoctrinement d'un état par exemple (comme Vichy en France...) comme des moutons de Panurge sans se poser de questions, ni contester se qu'on leur impose. Je ne pense pas que la "liberté" au sens large du terme existe mais l'Homme a le droit de penser et d'exprimer ce qu'il le souhaite. Einstein, n'est pas "jugeable" sur ses prises de positions.... Enfin ce n'est que mon humble avis." (22 juin 2007)
 
L'avis de Camille  (Toulouse) 
""Qu'un homme puisse prendre du plaisir à penser selon sa propre morale, suffit à me le rendre sympathique..." Merci Einstein !" (22 juin 2007)
 
L'avis de Brawler  (Genève) 
"Dans le contexte des mauvaises guerres, cette citation est toujours valable." (04 juin 2007)
 
L'avis de Louim  (St Germain) 
Dérision facile
"Dérision facile de braves gens qui ne font que leur boulot." (13 mars 2007)
 
L'avis de Alain  (Pau) 
Le mépris des "istes"
"Je vois dans cette citation une portée bien plus large : le mépris pour tous ceux qui se contentent de suivre une "musique", c'est à dire un dogme, sans être capables de réfléchir, d'analyser, d'avoir la moindre pensée personnelle. Tous les "iste", quoi..." (26 février 2007)
 
L'avis de Caroline  (Paris) 
Attention
"Attention, Einstein n' a pas dit qu'il méprisait ceux qui marchaient au rythme militaire mais ceux qui y prenaient plaisir. Il y a une nuance entre servir son pays et aimer parader. Bien que je sois d'accord sur le fait que le mépris est peut-être un peu fort, je me permets de rappeler que le contexte était un peu différent et que la citation est habituellement plus longue: il ajoute: "ce ne peut être que par erreur qu'ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement." Ce n'est donc pas contre ceux qui élaborent des stratégies et réfléchissent à ce qu'ils font et pourquoi ils le font, c'est contre ceux qui obéissent et accomplissent sans réfléchir les ordres ( je ne remets pas en cause la discipline militaire juste souligne que ça n'empêche pas ou ne devrait pas empêcher la réflexion)." (15 janvier 2007)
 
L'avis de Jean-jacques Monot (Prévessin) 
Le groupe au service des individus
"La liberté, et le combat pour elle, ne doit jamais imposer son renoncement, même provisoire. Combien de soldats, de toutes contrées, sont-ils partis fièrement imposer à d'autres par la force brutale la loi de leur maîtres. Fervent partisan, après Jaurès, d'une armée du peuple et d'un service militaire pour tous, je suis tout autant opposé au défilé militaire, utilisé pour fusionner et soumettre les volontés en endormant l'exercice du libre jugement de l'esprit." (21 novembre 2006)
 
L'avis de Pj  (Guyancourt) 
Il faut voir le contexte
"En réponse à Michel Brabant, je pense qu'il faut certainement replacer cette citation dans son contexte. Einstein, juif vivant entre les deux guerres en Allemagne, ne voit pas l'homme qui marche au pas comme voulant conquérir des libertés nouvelles, et à ce moment-là, il avait raison. D'ailleurs, il ne dit pas "suffit à le rendre méprisable" mais "suffit à ME le rendre méprisable"." (15 novembre 2006)
 
L'avis de Michel Mutin (Chevigny Saint Sauveur) 
Armée
"ce n'est pas parce qu'on aime la musique militaire qu'on est méprisable car on peut ausi aimer Mozart ou Luis Mariano! Etre anti militariste n'a jamais réussi à empêcher les guerres..." (10 novembre 2006)
 
L'avis de Jean Martin (Lons Le Saunier) 
Blessant !
"Cette citation n'est pas à la gloire d'Einstein. Pourquoi la reprendre dans ce dictionnaire? Heureusement qu'il y a, a eu, aura des militaires disciplinés défilant au rythme d'une fanfare pour conserver, conquérir et préserver les libertés, y compris celle qui me permet de m'exprimer librement ! Mais il n'est pas sur que je ne serai pas censuré ?" (06 novembre 2006)
 
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