coup de tête

locution
"Coup de tête"
coup de tête , locution
  • Sur un coup de tête Sens : Une décision brusque et irréfléchie. Origine : La tête est généralement le symbole de la réflexion, alors que le mot "coup" connote plutôt une action vive, ponctuelle et donc rapide. Cette expression joue donc sur l'opposition de ces deux mots pour signifier qu'une personne prend une décision sans vraiment réfléchir aux conséquences de ses actes.
  • Faire quelque chose sur un coup de tête Sens : Une décision brusque et irréfléchie. Origine : La tête est généralement le symbole de la réflexion, alors que le mot "coup" connote plutôt une action vive, ponctuelle et donc rapide. Cette expression joue donc sur l'opposition de ces deux mots pour signifier qu'une personne prend une décision sans vraiment réfléchir aux conséquences de ses actes.
  • Décider quelque chose sur un coup de tête Sens : Une décision brusque et irréfléchie. Origine : La tête est généralement le symbole de la réflexion, alors que le mot "coup" connote plutôt une action vive, ponctuelle et donc rapide. Cette expression joue donc sur l'opposition de ces deux mots pour signifier qu'une personne prend une décision sans vraiment réfléchir aux conséquences de ses actes.
  • Mettre sa tête à couper Sens : Affirmer quelque chose de façon très sure. Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
  • En mettre sa tête à couper Sens : Affirmer quelque chose de façon très sure. Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
  • J'en mettrais ma tête à couper Sens : J'en suis certain(e). Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
  • "Et j'abattrai d'un coup sa tête et son orgueil." Pierre Corneille
  • "Nous avons choisi, pour lui couper la tête, le seul roi qui n'en avait pas." Henri Jeanson
  • "Quand on coupe la tête d'un intellectuel, il meurt." François Cavanna
  • "A la différence des hydres, on a beau couper la tête des rois, ils repoussent toujours." Jean-Michel Ribes
  • "En même temps, je recevais sur la tête un coup formidable et je perdis connaissance." Léon Léon Bloy