césarisme

Rendre à César ce qui est à César Sens : Reconnaître la responsabilité d'un acte ou la propriété d'un bien à une personne. Origine : Selon l'Evangile, les Pharisiens auraient "innocemment" demandé à Jésus s'ils devaient obligatoirement payer l'impôt à l'empereur. Jésus leur demanda de lui montrer un denier. Celui-ci ayant été fait graver par César, le Christ déclara : "il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu." Etonnés de cette réponse, les Pharisiens ne cherchèrent plus à le flatter et s'en allèrent comme ils étaient venus. Depuis, l'expression s'est raccourcie à "il faut rendre à César ce qui est à César", et signifie qu'il faut attribuer la responsabilité d'un acte à celui dont on sait qu'il l'a commis.

Il faut rendre à César ce qui est à César. Sens : Reconnaître la responsabilité d'un acte ou la propriété d'un bien à une personne. Origine : Selon l'Evangile, les Pharisiens auraient "innocemment" demandé à Jésus s'ils devaient obligatoirement payer l'impôt à l'empereur. Jésus leur demanda de lui montrer un denier. Celui-ci ayant été fait graver par César, le Christ déclara : "il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu." Etonnés de cette réponse, les Pharisiens ne cherchèrent plus à le flatter et s'en allèrent comme ils étaient venus. Depuis, l'expression s'est raccourcie à "il faut rendre à César ce qui est à César", et signifie qu'il faut attribuer la responsabilité d'un acte à celui dont on sait qu'il l'a commis.

La femme de César ne doit pas être soupçonnée Sens : Les institutions doivent être irréprochables. Origine : Cette expression date de l'époque de Jules César. Un jour, il rejeta sa troisième femme, soupçonnée d'infidélité. Il ne pouvait pas se permettre que sa propre femme lui fasse honte. Etant proche du pouvoir, elle n'a pas le droit à l'erreur, elle se doit d'être irréprochable.