à coup sûr

locution adverbiale
à coup sûr, 147 expressions contenant le mot "à coup sûr"
  • Donner un coup de pied Sens : Frapper quelqu'un en portant un coup de pied sur une partie de son corps. Origine : Origine inconnue pour cette expression
  • Coup de pied retourné Sens : Coup de pied qui s'effectue dans différents sports ou arts martiaux et au cours duquel le pratiquant doit retourner son pied pour frapper l'adversaire ou le ballon. Origine : Origine inconnue pour cette expression
  • Faire les 400 coups Sens : Vivre sans respecter la morale et les convenances. Origine : Lors de la guerre menée par Louis XIII contre le protestantisme, la ville de Montauban fut attaquée en 1621 par 400 coups de canon, censés faire plier les habitants qui étaient en majorité protestants. Mais ils ne se rendirent pas. L'expression est restée et on dit d'une personne qu'elle "fait les 400 coups" lorsqu'elle mène une vie désordonnée, sans respect des us et coutumes.
  • Faire d'une pierre deux coups Sens : Réussir à atteindre deux objectifs à la fois. Origine : Dès la Préhistoire, la fronde fut utilisée comme arme de chasse. Lorsque le chasseur tuait deux oiseaux avec une seule pierre, on disait qu'il faisait "d'une pierre deux coups". Aujourd'hui, l'expression a toujours le même sens d'"atteindre deux objectifs en même temps".
  • Couper l'herbe sous le pied Sens : Devancer quelqu'un. Origine : Autrefois, l'"herbe" était chargée du même symbole que le pain. Il s'agissait d'un moyen de subsistance. L'emploi du verbe "couper" a également une symbolique forte, et il peut être rapproché de l'expression "couper les vivres". "Couper l'herbe sous le pied", c'est donc priver une personne d'un avantage qu'elle aurait pu avoir si on ne l'avait pas devancée.
  • Mettre sa tête à couper Sens : Affirmer quelque chose de façon très sure. Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
  • Couper les cheveux en quatre Sens : Se donner du mal inutilement. Origine : C'est au XVIIème siècle qu'est apparue cette expression sous la forme "fendre les cheveux en quatre". Elle figure un soin excessif pris pour faire quelque chose. On peut en effet imaginer qu'essayer de couper un cheveu en quatre est perdu d'avance, et surtout inutile.
  • En mettre sa tête à couper Sens : Affirmer quelque chose de façon très sure. Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
  • J'en mettrais ma tête à couper Sens : J'en suis certain(e). Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
  • Couper les ponts avec un ami Sens : Mettre fin à une relation avec quelqu'un de manière définitive. Origine : "Utilisée depuis le début du XXème siècle, cette expression renvoie au symbole que représente le pont comme étant l'un des principaux liens reliant les êtres humains. D'un point de vue métaphorique, ""couper les ponts"" reviendrait donc à rompre définitivement ce lien."
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