faux

adjectif, adverbe, nom féminin, nom masculin
faux, 29 expressions contenant le mot "faux"
  • Faux aveux. Sens : Déclarations fausses que l'on peut être amené à faire sous la contrainte.
  • Faux jeton Sens : Personne fourbe, hypocrite. Origine : Cette expression est très ancienne puisqu'elle remonte bien avant l'apparition des chiffres arabes. À l'époque, on comptait avec des jetons qui avaient l'apparence de vraies pièces de monnaie. Certaines personnes essayaient d'utiliser ces jetons comme de l'argent auprès de personnes simples d'esprit.
  • Faux bruits Sens : Rumeurs sans fondement.
  • Faux départ Sens : Mauvais départ.
  • Faux dilemme Sens : Fausse alternative.
  • Faux problème Sens : Difficulté, complication erronée.
  • s'inscrire en faux Sens : S'opposer (à l'aide d'une preuve) à une théorie adverse. Origine : "S'inscrire" signifie, depuis le XIVe, "noter son nom" qui évolue plus tard vers "faire ce qui doit être fait pour voir son nom inscrit". C'est au XVIIe qu'apparaît cette expression pour la première fois : elle signifie "s'inscrire en vue de s'opposer à une chose fausse" qui, quelques décennies plus tard devient "démentir".
  • Faux pas Sens : Pas qui fait tomber, chanceler Origine : Expression qui s'emploie au sens propre comme au sens figuré. Au sens premier, elle exprime le fait d'effectuer un pas qui nous fait tomber, chanceler, tituber et au sens figuré, elle signifie effectuer une faute, une maladresse, un impair qui nous met dans une situation embarrassante.
  • Esprit faux Sens : Réflexion allant dans le mauvais sens. Origine : Cette expression est créée au milieu du XVIIIe siècle par Voltaire. Ce dernier en définit les contours dans un article nommé Esprit faux dans son Dictionnaire philosophique également appelé La Raison par alphabet.
  • Faux acacia Sens : Le Robinier faux-acacia est un arbre de la famille des Fabacées. Origine : Originaire d'Amérique du Nord, le Robinier faux-acacia doit son nom au botaniste Jean Robin, qui l'introduit en France en 1601 et le plante dans son jardin parisien. Son fils Vespasien Robin le transplantera en 1632 dans le Jardin des Plantes de Paris.
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