tête

nom féminin
tête, 106 expressions contenant le mot "tête"
  • Avoir une tête à claques Sens : Avoir un visage agaçant. Origine : Dire qu'une personne "a une tête à claques" signifie qu'elle a un physique, et un visage plus particulièrement, qui est agaçant et qui donne envie de la gifler. L'expression semble être apparue avant la fin du XIXe siècle.
  • Mettre sa tête à couper Sens : Affirmer quelque chose de façon très sure. Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
  • Se cogner la tête contre les murs Sens : Faire de gros efforts inutilement. Origine : Autrefois, dans la première moitié du XVIIe siècle, on trouvait l'expression "donner de la tête contre les murs". L'association de la tête avec les coups évoque un mouvement violent et idiot. "Se cogner la tête contre les murs" signifie que l'on fournit de gros efforts inutilement.
  • Tenir tête à quelqu'un Sens : S'opposer à quelqu'un. Origine : Apparue au XVIe siècle sous la forme "faire tête", cette expression signifie que l'on s'oppose, surtout verbalement, à quelqu'un. Il s'agit d'une référence au domaine de la chasse et aux animaux poursuivis qui se présentaient de front quand ils étaient encerclés par les chiens et dont on disait qu'ils "faisaient tête".
  • Avoir une épée de Damoclès au-dessus de la tête Sens : Risque qui peut arriver à tout moment. Origine : Damoclès, courtisan de Denys l'Ancien de la fin du Vème siècle, se fit mettre une épée au-dessus de la tête par Denys l'Ancien. Epée qui était attachée par un crin de cheval. Sa vie ne tenait donc presque plus à rien.
  • Tête à claques Sens : Avoir un visage agaçant. Origine : Dire qu'une personne "a une tête à claques" signifie qu'elle a un physique, et un visage plus particulièrement, qui est agaçant et qui donne envie de la gifler. L'expression semble être apparue avant la fin du XIXe siècle.
  • Tomber cul par-dessus tête Sens : Tomber à la renverse. Origine : Apparue au XVe siècle, cette expression s'utilise en général avec des verbes tels que "tomber" ou "renverser". Elle signifie qu'une chose ou qu'une personne est "à l'envers", "renversée". Aujourd'hui, pour parler d'une chose, on emploie plus souvent l'expression "sens dessus dessous".
  • Etre cul par-dessus tête Sens : Etre à l'envers. Origine : Apparue au XVe siècle, cette expression s'utilise en général avec des verbes tels que "tomber" ou "renverser". Elle signifie qu'une chose ou qu'une personne est "à l'envers", "renversée". Aujourd'hui, pour parler d'une chose, on emploie plus souvent l'expression "sens dessus dessous".
  • En mettre sa tête à couper Sens : Affirmer quelque chose de façon très sure. Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
  • J'en mettrais ma tête à couper Sens : J'en suis certain(e). Origine : Au Moyen Age, lorsque les enquêtes concernant la culpabilité d'une personne s'annonçaient longues et fastidieuses, on préférait soumettre les accusés à une épreuve appelée le "jugement de Dieu". Celle-ci existait de différentes manières. Il pouvait s'agir de tournois, de duels, mais également d'autres formes d'épreuves beaucoup plus radicales. On attachait parfois un accusé par les poignets et par les chevilles et on le jetait dans l'eau. Si son corps flottait, c'est qu'il était coupable. Il pouvait également s'agir de tenir dans ses mains une barre de fer sortant des braises ou encore de laisser sa main dans les flammes. Si elle en ressortait indemne, cela signifiait que l'on était innocent. "Mettre sa tête à couper" est donc une référence à ce "jugement de Dieu", et on l'emploie lorsque l'on cherche à convaincre une personne que l'on a raison.
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