Name: Godzilla Final Wars
Released: 2019-06-03
Duration: 02h04
Rating: 2.7

Synopsis - Suite à une vague incessante de guerres et la montée de la pollution, d'énormes monstres font leur apparition. Lorsque ces mêmes créatures gigantesques attaquent simultanément les diverses capitales de la planète, l'Armée Mondiale se retrouve dans l'incapacité de maintenir l'ordre. Il est temps de réveiller Godzilla, prisonnier des glaces du Pôle Sud.

Film fantastique

Vos avis

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david vallade - 05/10/2007

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alors ce film je sais pas de quand il date mais gt bidonné pendant les dix minutes que je l'ai regardé un vrai navet comme disent les vieux

Patrick Szczotkowski - 05/10/2007

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Le plus beau de la série: "A la suite d'une vague incessante de guerres et d'une croissance démesurée de la pollution, d'énormes monstres font leur apparition. Heureusement pour l'humanité, l'EDF (Earth Defense Force), veille et emploie des unités mutantes pour combattre la nouvelle menace. Lorsque les différentes créatures gigantesques se mettent à attaquer simultanément les diverses capitales de la planète, l'EDF se retrouve soudainement impuissante face à l'énorme invasion."

pascal jeuffroy - 05/10/2007

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a prendre aux douzieme degres delirant

Elsa Hezouet - 22/09/2005

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Avant Bioman, X-Or, San ku kaï et autres Goldorak, il y avait Godzilla. Il revient devant la caméra de Ryuhei Kitamura et ça fait mal ! Une fois nest pas coutume, notre monstre préféré vient sauver la planète, à laide dune unité de défense mutante, lEDF (Earth Defense Force). Et quon se le dise, lEDF nous doit plus que la lumière ! Dans cet hommage au fringant monstre quinquagénaire, Kitamura convoque les 28 précédents opus pour un feu dartifice digne de la bête. Loin de la surenchère deffets spéciaux hollywoodiens signée Roland Emmerich, ce « final wars » est un retour aux sources jubilatoire. Et quand Godzilla version Kitamura envoie dans les cordes son pâle ersatz américain, la salle (dont moi) explose littéralement. La fidélité à lesprit de la franchise de la Toho est exemplaire : on passe dune scène à lautre sans transition, les monstres sont à mourir de rire bref, le tout est un grand foutoir où règne une seule constante : les blagues à deux sous de lindécrottable Capitaine Gordon. A voir au deux millième degré (au moins) et lon passe un bon moment.