L'avis de Annie (Vincennes)   |
| Baudelaire macho ! |
| "Le plaisir qu'ont les hommes à fréquenter les femmes ne serait que d'ordre physique ? Voyons, qu'inspire donc une femme intelligente : l'admiration, le respect, peut-être une certaine rivalité intellectuelle ? Un homme n'a pas l'impression de "dominer" une femme intelligente, donc il ne peut la désirer. Pour la désirer, il faut qu'il se sente "homme", donc, classiquement, supérieur à elle. Cela ne pose donc pas de problème aux pédérastes, puisque les femmes ne sont pas leurs partenaires sexuelles. Eux, les pédérastes, peuvent donc apprécier et même préférer la compagnie des femmes intelligentes sans aucun problème." (17 juillet 2008) |
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| L'avis de Erwan (Rennes) |
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| "Cela dépend peut de qui est actif/passif.
ou de qui est prêt a s'offrir au plus dominant." (19 mars 2008) |
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| L'avis de Bruno Et Agnes (Toulon) |
| Sur cette citation nous composons une amie et moi un texte |
| "Cela lui suffit et semble t 'il l'habite/
L'homme hanté par ses instincts de Cro-magnon/
Cherche l'intelligente dans ses rares moments de raison/
Mais fini toujours par coincer la s…/
Tant ses instincts le conduisent vers les trompes de Fallope/
La savante envahie que par la réflexion /
Et n'ayant que peu pratiqué la technique de la fellation/
Se retrouve dérangée face à son manque d'expérience/
Et se demande si à ce jeu n'est pas préférable l'abstinence/
Le renard au repos revient toujours vers le cerveau/
L'intelligente peut alors lui reparler de Rimbaud/
Mais cette trève est courte et dès que le cochon intérieur se réveille/
Toutes les belles discussions se remettent en veille/
C'est d'ailleurs dans ces moments de moindre durée/
Que les poètes ont pu pondre leurs plus belles apogées/
Mais quand on s'attarde sur leur vie on se rend compte/
Que pour Rimbaud comme pour les autres il n'y a qu'une chose qui compte/
L'écervellée regarde l'intellectuelle comme une bête curieuse/
Sans même savoir pourquoi elle en est même envieuse/
Et comme à son habitude ne se pose pas plus de questions/
Retournant au lit révéler le sexe que l'homme tient en adoration/
Pourtant le message est clair dans toutes les porcheries/
Et Brassens (dans le lot) le chante sans parcimonie/
Quelque soit la femelle qui va en découdre/
'Pour l'amour on ne demande pas aux filles d'avoir inventé la poudre'/
De la foudre, notre pauvre samothrace,/
De par ses bras ne laissa aucune trace./
Mais destin aussi cruel; la tête tomba./
Pourquoi donc célébrer par dieu un tel combat?
/Le grec n'avait-il pour femme qu'un tronc sans bras?/
Prouvant ainsi que la femme n'est rien sans le bas./
Il est un fait : le grec aime le derrière!/
Et pas souvent femme en fait son affaire./
Si les anciens Grecs préfèraient tous leur frères/
C'est que femme savante n'était pas sur terre/
Quand de vieux lions rêvent d'époques primaires/
Pour retrouver la domination d'une race isolée/
C'est narcisse qui parle au fond de l'homme interressé/
Qui aurait voulu seul régenter l'univers tout entier./
Mesdames ne tenez pas cas de leurs désirs sodomites /
Et bien qu'avec peu d'exceptions ils tentent tous le rite /
Femme intelligente à ce moment les arrête bien vite./
Si la belle idiote peut consentir à ce jeu/
La lionne reste dans ses voeux pieux/
D'un homme étouffant son archaïsme pour gouverner à deux /
On a vu intrigantes bien élégantes! Leurs vies étaient bien souvent colignantes /
De la messaline aux seins d'agrippine, Toutes aimaient caresser les philippines. /
La veuve Scarron du roi retouchait le fond. Délaissant, la Montespan, pour son macaron./
Des cours portent son nom; pour tous ses voeux pieux;/
Le roi en rêvait jusqu'au septième cieux. /
Celle donc les seins goûtent aux grands Champagne /
Le roi la voyait toujours sans aucun pagne. /
Était ainsi la merveilleuse Pompadour, /
Intelligence du pouvoir et de l’amour. /
Il n’est point besoin à femme d’être sotte
/Pour se faire bien remplir la tendre hotte.
/La femme instruite redonne la pomme, /
Que l’homme rêve de prendre dans sa paume. /
Mais du péché reste toujours quelque chose/
Il n'y a qu'à voir où nous a mené la pomme/
Quand avec la savante on s'adonne à la chose/
Ce sont les cieux tout entiers qui vous abandonnent/
Si le temps n'efface pas les dames de tête /
Imprégnant l'histoire de leur habileté /
Les rois ne se réjouissaient pas moins des soubrettes /
Qui ont marqué aussi mais dans l'intimité /
Pourtant si nous regardons un peu plus avant/
Sur l'idiote avantage à la femme de tête/
C'est diantre qu'aucun homme ne veut pour ses enfants/
Depuis peu dans ce siècle d'une mère bête./" (14 mars 2008) |
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| L'avis de Chloé (Paris) |
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| "Baudelaire dit clairement que les femmes ne sont pas intelligentes. Libre à vous ensuite d'interpréter cette citation avec vos références contemporaines et donc totalement hors de contexte, mais le propos reste limpide et délicieusement impertinent." (08 février 2008) |
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| L'avis de Eya (Paris) |
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| "Aimer Une femme qui gére son foyer avec intelligence est-il aussi un plaisir de pédéraste?
Dans ce proverbe ,Baudelaire réduit l'intelligence à la culture... ce qui pour moi est une erreur.
On voit bien aussi que les hommes ne veulent pas acquerir leur force en s'améliorant mais en prenant plus faible qu'eux." (04 février 2008) |
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| L'avis de Priscillia (Bézier) |
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| "Après avoir lu cette citation et découvert qui était Charles Baudelaire, je trouve que ce Grand a une ouverture d'esprit ample qui permet a tous et a toutes d'avoir son avis sur cette citation. Je veux dire que chacun interprète celle-ci comme il le veut... Il nous fait cogiter sur une phrase, en réalité, d'une simplicité ambiguë. Personnellement, je pense que l'homme se croit supérieur a la gente féminine donc à partir de là se doit d'être le meilleur a tous les niveaux." (28 janvier 2008) |
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| L'avis de Marie (Bordeaux) |
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| "Je trouve amusant de rapprocher cette citation de celle de Marcel Proust : « Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination. »
Mais Proust n'était-il pas homosexuel ?
Et Baudelaire bi ?
;)" (25 janvier 2008) |
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| L'avis de Pascal (Vernon) |
| Les femmes ont bien d'autres atouts |
| "Cette citation est géniale, et j'admire Baudelaire au moins pour l'avoir prononcée. Elle est impertinente et ambiguë. Pour moi, elle est riche de sens non pas sur la nature des femmes, mais plutôt sur celle des hommes. L'intelligence n'a pas de sexe, et la dernière femme qui m'ait fait craquer ne cessait de minimiser ses capacités intellectuelles. Intelligente ou pas, elle avait bien plus précieux à mes yeux : une grâce toute féminine." (31 octobre 2007) |
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| L'avis de Amily Thibault (Trois-riviere) |
| Je trouve ... |
| "Je trouve que c'est bien dit, Je fais cette recherche pour un travail d'école secondaire et jusqu'à maintenant son histoire me facine." (31 octobre 2007) |
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| L'avis de Jo (Paris) |
| Et si .... |
| "Il est possible d'interpréter cette citation de manière plutôt misogyne, car finalement Baudelaire nous dit que si l'on aime une femme intelligente, c'est que notre femme est un homme..." (24 septembre 2007) |
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